Orks

C'est ici que les personnes ayant choisie les Orks raconteront la bataille de Terra!

Nombre de messages : 64 Date d'inscription : 18/06/2007

Une brise interstellaire caressait suavement le “grokaillou” orque. Se référent a leur dialecte, il serait plus convenable de les appeler ork. Donc, c’était le « grokaillor » du chef de guerre Kuzak’mal Kitulesbonomes. Ce « grokaillou » comme ils l’appellent est une sorte de lune autopropulsée, qui pourait se décrire comme un semblable aux vaisseaux mondes Eldars, de par sa taille et sa mass, mais ce serait offenser ce dernier. Le grokaillou est un amas de métal oxydé par les tirs de son armement primitif. En fait, toute la structure de la chose consiste en un gigantesque amas de « matos » ork récupéré dans les mondes conquis. Comme si l’on ne l’avait pas déjà assez répété, les orks n’ont d’amour que pour la guerre, le carnage, et la destruction. Cependant, malgré leur penchant destructeur, ils ont un don pour la récupération, que est pour eux l’équivalent du concept de « construction » des autres races. Bref, revenons à notre récit, des plus poétiques qui soit…

L’engin minéral, métallique, et de toute autre consistance qui puisse passer à la tête, certes un peu vide, d’un ork, se frayait chemin sans difficulté a travers le vide sidéral, ou nul poids, nulle masse, nul frein ne pouvait perturber son avance. Sur le pole nord du corps stellaire semi artificiel se trouvait la « fortress du boss », sorte de palais de ferraille ou le tétanos formait dejà partie de l’atmosphère. Là siégeait le chef de guerre, ou le « boss », comme l’appelaient les « boyz ». Personne dans toute la « Waaaghh », pour être clair, groupement de milliers de peaux verts partant en guerre, quelque en soit la raison (généralement il n’y en a pas, les orks sont généreux et ne demandent rien en échange de leur bagarre), contestait son statut de « plugros », de « plusfort », de « plusméchant », ou bien encore de « pluskitú ». Bref, ces hauts faits d’armes étaient la preuve des ses mérites, antérieurement cités. Son nom, qui dégageait un aire de noblesse et de sagesse, était Kuzak’mal Kitulesbonomes. Sa bravoure (ou violence) n’avait d’égale que sa bravoure (ou stupidité). Ses conseils, aussi sages que ponctuels, étaient d’une grande clarté et guidaient les cœurs de ses chers « boyz ». Quel ork n’a jamais réagi a des conseils aussi dissuasifs que : « zelui ki tu pa les enmis, se mua ki va le tuer », ou, d’un genre plus subtile : « j’vais bouffer te tripp dans le sang d’l’enmi si tu koz encore !».

Ah, ces orks, si enfantins et innocents. Pour en revenir a notre bien aimé Kuzak’mal, celui-ci juchait sur son majestueux trône (en fait, un vieux WC Space Marine un peu adapté). Il trifouillait et essayait un nouvel artefact d’une beauté éblouissante. C’était un « Grosfling », son « joujou » comme il l’appelait. Je ne m’attarderais pas sur sa description mais sachez simplement que celle-ci faisait beaucoup de « bobo », comme l’avaient constaté les gretchins qui furent la cible des essais. Dans son hall de la rouille et de la ferraille étaient aussi le cercle intérieur des douze preuxs chevaliers, les douze héros de maintes batailles et combat, les douze élus. Oui d’accord, ce sont juste les douze orks qui ont massacré le plus grand nombre d’ennemis, mis appart notre grand chef. On les appelait « Nobz Pagentis ». Ils étaient l’ultime force de défense de la glorieuse… bon d’accord, ça va, j’exagère quelque peu. Parler d’êtres si purs me rend tellement nostalgique… Bon, commençons une fois pour toute a nous intéresser sur l’action.

Kuzak’mal venait de conquérir glorieusement le monde d’Alanier Prime : pour ainsi dire, il le mit a feux et a sang. Lui et ses boys étaient a présent tristes, nostalgiques… Il semblait que la République démocratique de Galdaria avait cesser de prêter attention au monde qu’elle venait a peine de conquérir (pour instaurer une démocratie, bien sur). Seulement quelques bataillons de gardes galdariens avaient étés positionnés sur la planète, offrant ainsi une maigre résistance a la Waaaagh colossale de Kuzak’mal. Celui-ci était « pakontent ». Lorsque soudain, après une réflexion intense et colossale, une idée lui vint à la tête. Il se leva, prit la parole et d’un ton autoritaire, mais serein, il dit :

- Lez meks, mon itelect superieur a fé dé sien. Le dieu y zont dit kon devait konkerir un otr planet !

Ces qualités d’orateur lui valurent un applaudissement (ou plutôt un vacarme sauvage) d’approbation.

- Ptin cheff, koment q’cest kon y a pa pensé plu to.

- Ce pour sa kjsui l’cheff. Bon, j’ve aplé notr ami le mékano, je nomé Gromek Nikrok Repartou.

Il cria son nom d’une voix déliquate :

- Nikrok ! Ramen’ te fess, on a bsoin dla bussol magik.

La « bussol magik » était en fait une grosse boussole de deux mètres de diamètre qui ne marchait pas. Le « Big Boss » faisait tourner la flèche jusqu’à ce que celle-ci s’arrête. L’artefact de grande utilité arriva enfin dans la cour du seigneur.

- Bon, j’ve pa vou fér atendr.

Il tourna la flèche de la boussole. Celle-ci effectuà grand nombre de tours, lorsque, petit a petit elle s’arretà, poingtant une direction.

- Nikrok, prend tes archiv’ et di nou keske ce ki ya labà.

- Toudsuit patron !

Il ne tarda par a arriver avec un cofre rouillé (et oui) plein de cartes mal dessines avec des annotations.

- Selon me kalkul, patron, ver la ou on va ya un planete avec plein de petit bonomz imperio, et cé aussi la ou ya la kapital’ de gro bonom avec leur gross armur’. Va yavuar du baston !

- Ce ske jem. De zumains a plein l’rabor. Sa ça nou changera dses larves kon a vu avant. Le Galdariabidule ce nul y son tro fort, me yen a pas bokou, on va y ecrabullé le zumain et l’pempreur de teratrukmachin. On va tou bruler et kramer. Ke les dieux dla guerr y soit avek moi, euhh avek nou. Et nublié pa, lé zorks y zont bzoin d'ennemi à kombattre, d'viande à manger et d'bière de squig à boire.

- Viv’ l’boss ! Viv’ la Waaaagh !

Ces dociles mots prononcés, les peaux vertes se mirent en direction de la sainte Terra. Cependant, un combat aux proportions dantesques prenait déjà part dans les alentours de notre belle terre. Les orks l’ignoraient, hélas pour ces braves guerriers. Ils ne seraient pas déçus par le nombre d’ennemis à combattre et de la diversité de ceux-ci.

Nombre de messages : 64 Date d'inscription : 18/06/2007

- Zut Boss, ya les oreiy pointu qui sont dvant.

En effet, devant la Waaaaagh ork avançait gracilement la flotte eldar d’Il-Kaithe, qui devait venir secourir les autres Eldars qui luttaient sur terra. Les beaux vaisseaux verts et pourpres avançaient très rapidement vers le combat, et ils n’aperçurent pas au premier abord les orks.

- Vla noz zenmi. – Grognà Kuzak’mal.

- Ce koi vo zordr patron?

- Comm’ d’ab, on fonss sur l’tas.

La stratégie établie, le “grokaillou” ork changea de cap pour se diriger vers Il-Kaithe et les prendre en assaut. Cependant les Eldars avançaient bien plus vite que les orks. Ceux-ci semblaient déçus.

- Keske se kil font? Y vont trop vitt, comment ce kon fait pour les attrapé?

- Lesse mua pensé. – Il réflechit un court instant (huit minutes et douze secondes). – Ça yest! Je unn ideé d’geni. On va leur tiré dsus avek nos kanon kikasstout!

- Vla un bon idé.

Dit cela les “Mekano” s’activèrent et allumèrent les soit disant canons. Ceux-ci firent du bruit, beaucoup de bruit, tel une hymne de guerre des étoiles qui... bon ça suffit... Bref, plus de bruit que de précision pour les orques puisque seulement trois des dix tirs touchèrent les vaisseaux Eldars. Ceux-ci ne tardèrent pas à riposter, ayant perdu un croiseur et deux frégates.

- On a kassé troix truks patron!

- Vla ske jemm. Mentenan y vont contrataker, mais avek notr blindage extrem, on peut foncer dans l’tas.

En effet, les orques foncèrent à vive allure vers la flotte Eldar. Ceux-ci tiraient de leurs armes haute technologie, mais les effets restaient réduits. Les Ork arrivèrent finalement en position d’abordage, et les vaisseaux mineurs Orks sortirent du “grokaillou” pour aborder la flotte des Eldars.

- Suss aux orey pointu! Prené voz engin’ et fonssé sur cé larv’! Brulez, Kramez, Tuez ! Waaaaagh !

Ainsi commença la “bagarre” des orks. Les eldars étaient surpassés en nombre, et, ils le savaient, ils ne pourraient aller en aide a leurs frères sur terra.

Nombre de messages : 64 Date d'inscription : 18/06/2007

- Dla kass pour Gork et Mork!

Le cri de bataille fut lancé lorsque Kuzak’mal empala délicatement un gardien avec son “joujou kikrak”, puis il pointa son “grosfling’” sur un groupe de vengeurs.

- Patron! Ya plin doreilles pointú!

- Cé normal abruti, on é dan un truk a eux. – Cette déduction des plus improbables fit frémir d’honte l’autre ork.

- Ah ouaisss, j’y avé pa pensé!

- Stupid’ maintnant kass, kramm et koup!

L’argumentation achevée, nos deux gringalets d’orques, ainsi que le reste de la troupe qui menait l’abordage, partit cueillir des eldars. Un, deux, trois eldars tombaient sous la force brutale des dociles peaux vertes. Mais les fils des étoiles tenaient bon. Ils repoussaient moult attaques des ork. Rog, l’ork qui débattit auparavant avec le Big Boss fut touché.

- Aille, Chef, un méchant eldar vient de me blesser !

- Koi ?

- Eu, skuzezmoi : Zut patron !, ya un vilain oreill pointú ki ma fé un gro bobo !

- Ah, parl’ korrektment bonsang’ ! Zob, appel le dok ! – Cria Kuzak’mal en se tournant vers un autre ork.

- J’y vé patron !

L’ork blessé se touchait le bras, en essayant de stopper l’hémorragie, le Big Boss, attentif a ces « boyz », s’empressa d’aller tenir compagnie au blessé, pour ces derniers instant de vie.

- Boss, si j’meur, dit’ a ma fam é a méz enfant ke je lé zem’…

- Eu, t’en a pas.

- Zut, cé vré. Bon dit’ au vermin de gretchin ke j’le zem.

- Ah non, t’ekzager là.

Le « dok » Grobar arrivà sur le champ, avec des tas d’outils plus ou moins rouilles, donc, plus adaptés pour répandre le tétanos que pour guérir.

- Ah t’voilá dok, pren soin du boyz.

- Pad problem’, y va sensortir.

Soulagé pour le sort de son vaillant soldat, notre bien aimé Big Boss reprit la bagarre de plus belle. Il regarda un instant par des hublots les autres vaisseaux eldars, attaqués aussi par les orks, qui se détruisaient petit a petit, pièce par pièce. Le Boss fut prit d’une joie incontrôlée. Il s’adressa à grand nombre d’eldars qui attendaient sa charge.

- Haha, V’là ske nou, le zork, le plufort, le pluskitu, les plusmeilleur on peut fair’. Votr’ minabl’ armé, on va la kramer et la kasser en ptit morçó. On va en fer du paté pour Squig, dla puré, dla bouz de vach. Votr sang infekt va etr koulé dan votr’ propr bidulkivol. Lé dieu, y veul pu de vou dan l’mond. Pour la Waaaaaagh, pour le zork, pour Gork é Mork, pour tou nou ! Waaaaaaaaaagh !

Terminé cette déclaration enflammée il reprit ces habitudes. Il s’apprêta à charger lorsqu’il vit que les eldars ne bougeaient pas d’un poil. Tout était immobile, la lourdeur de l’air se faisait sentir. Kuzak’mal arrêta net sa charge et regarda étonné les défenseurs. Il pensa : « Mé keskizon cé oreill pointú, pourkoi k’cé ki zon pa peur ? » Soudain un eldar fit remarquer, a voix haute, a un autre :

- Vous avez compris ce qu’il a dit ?

- Eu, je crains que non.

- Bon, au moins on sait qu’il va charger non ?

- Je pense que c’est indiscutable.

Puis l’ork fou de rage reprit sa charge et abattit d’un coup de « brikol kupant » les deux eldars, ainsi que nombres d’autres. Les autres orks en firent de même et le massacre total. Pendent que grand nombre d’ork abattaient les eldars, d’autres déposaient des charges et des dynamites partout sur le vaisseau. Après peu, le Big Boss ordonna :

- Vla lé gar, on a eu un bon baston, maintnan, on rtourne au kallou pour voir l’feu d’artifesse, d’arifric, d’arti… le feu zoli a vuar !

- Ouais, viv’ le patron ! – Crièrent les autres orks, puis ils repartirent à bord de leurs élégants vaisseaux rouillés. Pendent qu’ils se déplaçaient vers leur demeure spatiale ils virent l’explosion de la flotte d’Il-Kaithé, pulvérisé comme un feux d’ARTIFICE.

- Mon keur bá kan j’voi le merveill ke j’fai.

- Trè poetik patron.

- Je sé. J’sui né avek se don.

Nombre de messages : 64 Date d'inscription : 18/06/2007

Notre chère Kuzak’mal tripotait ses « joujou » pour le préparer en vue du combat imminent sur la planète.

- Nikrok, bouj ton kú et vien ici tout’suit ! – Dit notre Boss avec délicatesse.

- Dan kombien d’temp k’cé kon va aterrir.

- Eu, ben slon mé kalkul déksper, on dvré touché l’sol dan environ Unpeuplein d’minut.

- Parfé, prévien le « boyz » kiss prèpar é j’vé lé zattendr dan la sal dé diskur.

Nikrok, bon et loyaux serviteur, partit sur le champ pour exécuter la requête de son noble seigneur. Puis quelques minutes plus tard, notre bon vieux Kuzak’mal se présenta sur un « balkon » devant son armé, pour leur faire part de son discours de bataille.

- Lé Boyz, si on é ici réuni dan set instan d’gloir, cé pour un réson imporant’ , on a traverssé plin de planèt et d’endrois. On a krammé dé zumain, dé zoreill pointú, dé Galdartruk, bref, plin d’genr denmi. Ajordui, cé un jour krucial. On va attaker un planet ki sappel un nom. Ya plin d’zumain, plin d’marinboyz, plin d’enmi koi. Lé dieu, y zon voulú k’jvou kommand’ parske chui l’plu grand, le plus fort, le plus kitú, le plus kikram, le plus tout. J’ai l’inteligenss dun ork et la forss dun ork. Jé Krammé tou ski marché, tou ski volé, jé tou détrui é massacré. Mé j’le pafé touseul. Yavé dérrier mua, plin de boyz. Yavé vou tous ! – Les orks l’approuvèrent. – J’sui votr cervô, et vou, v’zet mon bra. Voui zécrazez skeu j’ecraz. Le zenmi von gouter no kikup, no fling, no boitkitu, no zarm mortel é notr fourbi. J’dua vou zavouer un truk : j’vu zem ! Vou zet tous leméilleur, lé plusbien boyz kun Big Boss pouré avoir. V’zet comm me p’ti zenfans. Bon cé pa tou mé on va bientó aterrir. Conté avek mua :

Zun, deu, troi, katr, plus, bocou, trô…

Le décompte achevé, le grokaillou se coalisa avec la planète. Les portes s’ouvrirent et les ork sortirent. Mais leur déception fut à la hauteur de leurs espérances. La planète ou ils venaient d’atterrir n’était q’un désert. Pas une plante, pas un bâtiment, et encore pire pour les orks, pas un ennemi.

- Eu, ze kua ce sinemà ? Ou k’cé ki son le zenmi ?

En fait les ennemis venaient d’atterrir sur une planète en dessous de la terre. Qui, semblait-il, venait d’être dévoré par les tyranides.

- Nikrok, ta un explikasion jésperr ?

- Jkompren pa patron, pourtan, me kalkul son trè préci (pour les critères des ork). Je kroi kun enmi é vnu issi avan nou.

- La gerb’ d’Gretchin. Sa va pa spacé kom sa. On remont dan l’engin, et on par pour l’otr planet ou cé kon voulé allé. Nikrok, j’veu dé kalkul précí en vrai. É jveu savoir ki k’cé ki é vnu la avan nou. Ma vengenss sera san pitié.

- Eu patron.

- Koi enkor.

- On peu pa fer dekoler le grokaillou. Cé tro lour…

- Zut alor.

Nombre de messages : 64 Date d'inscription : 18/06/2007

Nos bien aimés orks, après un long, très long moment de stationnement, arrivèrent a réparer leur “Grokaillou”, Kuzak-mal était on ne peu plus content. Il savait (enfin, je crois) qu’il pourrait a nouveau partir au combat avec tous ses petits sujets adorés. Le temps était venu de quitter cette planète très inhospitalière et de repartir combattre les abominations de la Galaxie (Dont, selon eux, ils ne faisaient pas partie). Le Big Boss se tint devant sa horde.

- Lé Boyz, on a pasé tró de temp sur set planet’ a la noix. Moi j’veu d’la bagarr, d’la vrai, pas vous?

- Ouéééééééé! – Clama toute la horde.

- On a de voyou ki son vnu ici avan nou. Les kokins, y croi ki von sentiré kom sa. Moi j’di kon va lé kogner. Les prout’ de Squigoth, on va en fairr un barbekiu.

- Ouéééééééé! – Reprit la horde.

- Kan j’oré fini mon bo diskur, fét vo valise, on skass d’la et on par ver terrtruk.

- Ouéééééééé!

- On é lé plus mieu ki ya. On é le zork, et mêm si le zumains, le gro zinsekt, le zoreill pointú et tou les méchant ki nous font bobó s’mett kontr nou, y pourron pa nou zarreter.

- Ouééééééééé!

- Vou zavé dit un “é” en tro...

- Ouéééééééé!

- Ce mieu, bon j’reprend. Ou en étéj?

- A ki pouron pa nou zarreter chet – Lui siffla a l’oreille Nikrok.

- Ah oui. Bon, grass a vo zeffort on poura kiter ce lieu modi. On a bien surveku, grass a notr’ amitié, kar oui, on é dé kopains. Mêm si on s’tapp dessu kan on a person dotr sur ki tapper, ça veu pa dir kon sem pa. Et mêm le zenmi on le zem bien, ke seré la galaxí sans eu. On se kogneré tous dessú é on mourré tous. Moi jdi, dabbor’, viv’ le zork, apré viv’ le mond, et pour finir viv’ le zenmi.

- Ouéééééééé!

- Alor maintnan’ fett vo valiz, on repar a lavanturr. On va kogner comm’ on a jamé kogné. Affuté vo kikup é netuayé vo fling’ on parr en guerr, pour Gork é Mork!

- Ouéééééééé!

- Waaaaaaaaaaaaaaaagh!

- Waaaaaaaaaaaaaaaagh! – Reprit la horde.

- Bon moi j’vé au chiott’, le squig de set aprem’ été pa tré fré.

- Ouéééééééé!

- J’parl pa a vou band de larv’, j’parl a mon estoma!

- Ouéééééééé!

- Vou savé just dir sa?

- Ouéééééééé!

- Bon, cé désésperé, j’y vé.

- Ouéééééééé!

Mouarf chapitre inutile mais bien marrant ^^ J'adore le coté philosophe de ton Boss Very Happy