deuxième fic' Garde impériale/tyranides: Sliva

La Bataille De Sliva VII…




"Un cancer ronge l'Imperium. Il avance un peu plus chaque année, ne laissant derrière lui que des mondes morts. Cette horreur, cette abomination, pense et agit à une échelle galactique presque inconcevable pour nous autres, et tout ce que nous pouvons faire est de tenter de stopper les essaims de monstruosités biologiques qu'elle nous envoie, simplement par instinct. Pour apaiser nos peurs, nous avons donné un nom à cette chose : la race Tyranide. Mais elle ne nous désigne simplement que par ce simple mot : proie."

Inquisiteur Czevak.



"J'ai à ma disposition un corps d'armée complet de la Garde Impériale. Cinquante régiments, des troupes aéroportées, des appareils espions furtifs, des détachements motorisés, des compagnies blindées, des sapeurs et de l'artillerie mobile. Plus de 4 milliards de soldats, plus d’un demi million blindés et pièces d'artillerie sont à mes ordres. Que l'Empereur ait pitié de l'inconscient qui osera m'attaquer, car je n'en aurai aucune."

- Maître de Guerre Démétrius –


C’est ce que grommela Démétrius la première fois qu’il entendit ce message...

Pourtant il était loin de se douté que son armée allait être le repas d’une race affamée et que sa planète, SlivaVII, deviendrait un roc stérile…



I- Mais pour en arrivé là il fallait d’abord que l’une des flotte éclaireuses de Démétrius perde le contact avec l’Infligus, un des principaux croiseurs de la défense orbital de SlivaVII…



Il était 00h14 quand les bâtiments éclaireurs impériaux partirent de l’Infligus. Eux aussi ne se doutaient pas que leur mission de reconnaissance allait être la dernière de leurs prestigieuses carrières de pilotes impériaux. Après la phase de propulsion, l’un des pilotes observa que la planète « zebra2547 »habituellement quasiment totalement verte, avait une couleur aujourd’hui violette voir noire.Leur commandant leur expliqua que ce ne pouvait être qu’une tempête tropicale ; mais lorsque « zebra2548 » et « zebra2549 » étaient dans le même cas, les pilotes et le commandant voulurent faire demi-tour. Malheureusement pour eux (comme ils étaient choqués pas les couleurs étranges des planètes) ils ne virent pas le vaisseau ruche tyranide, qui était en vol quasi-stationnaire, au dessus de leurs cockpits. Les 7 pilotes furent incroyablement surpris et envoyèrent alors toutes leurs données à l’Infligus car leurs fins étaient proches…
En effet ils décidèrent de se rendre sur « zebra2549 » pour inspecter la zone, car après tout c’était le rôle de nos jeunes pilotes.
Zebra2549 était une planète très ressemblante à la Terre (elle lui ressemblait, mais pas à Terra car elle n’était pas aussi développée) ; elle était occupé par la Garde Impériale ( ainsi que ses sœurs zebra2547 et zebra2548). Je ne pense pas qu’il soit nécessaire de vous expliquer plus de détails sur notre planète étant donné le fait que je suis sûr a 99,99% que vous y résidez.


++Transcription des données reçues pas l’Infligus++
planète zebra2549>
tempête cyclonique de niveau VIII
la planète est englobé par le cyclone
tentative de survolage par l’équipe alpha du navire Infligus
vaisseau ruche détecté, en vol quasi-stationnaire, en orbite
le vaisseau ruche largue des navettes d’assauts
++race identifiée -+ Tyranide+- ++
zebra2549 n’est pas le théâtre d’une tempête cyclonique mais d’une invasion tyranide stade III
++rappel++ le stade III est le dernier stade de l’invasion tyranide sur une planète
le contact est rompu avec l’équipe alpha
cause de l’interruption : présence possible d’un champs Warp, le matériel de communication de l’équipe alpha est peut-être endommagé ou bien l’équipe alpha n’est plus
l’équipe alpha était la meilleure unité d’éclairage/combat
conseils>partir à la recherche alpha en temps normal mais partir maintenant serait du suicide

++fin de la transcription++


II- Maintenant que vous êtes au courant de la situation, tous comme les impériaux, il est temps de voir comment la Démétrius a réagit…


Au moment même où la transcription fut interceptée par l’Infligus, Démétrius fut mis au courant. Il ne resta pas de marbre au fur et à mesure de la lecture de la transcription.Il repensa alors au message de l’inquisiteur Czevak, et se dit pour se rassurer que ce ne serait une vulgaire bestiole géante qui pourrait mettre en cendre toutes son armée.Il était 02h17 lorsque le général prononça ces mots:
« Messieurs, je veux que tout les commandants de tous les vaisseaux impériaux ainsi que tous les officiers de SlivaVII soient au courant de la situation dans les 15 prochaines minutes.
Me suis-je bien fait comprendre ? »
A ce moment précis tout le monde à bort de l’Infligus était en train de transmettre les données reçues aux officiers.
Démétrius était inquiet, non pas par le fait qu’il risquait de mourir dans la prochaine semaine mais par le fait qu’il risquait de manquer de munitions. Plutôt ironique mais réel. SlivaVII avait commandé des munitions aux planètes zebra (qui étaient toutes trois planètes minières).
La garde impérial recrutait en ce moment et comme d’habitude ses nouvelles recrues devaient s’entrainer aux tirs (artilleries et armements simples). Certes on pourrait croire qu’un recrutement n’est pas énorme mais lorsqu’une planète comme SlivaVII compte 98 500 000 000 habitants on peut comprendre le manque de munitions.
Malgré tous les munitions que possédait SlivaVII était énormément suffisantes car Démétrius pensait que cette bataille allait durer plusieurs mois or ce n’était absolument pas le cas…
En attendant tous les officiers étaient maintenant au courant de la situation et ils étaient inquiets, mais pas du manque de munitions, du fait que leur fin était proche.

Quelques jours après la détection des tyranides ceux-ci furent leurs apparitions dans les secteurs gamma-7 et gamma-8. C'est-à-dire très proches de SlivaVII. Du moins c’était le vaisseau ruche. Démétrius se demanda s’il devait ou non attaquait le bâtiment ennemi. En effet celui-ci manquait d’expérience face aux tyranides (de toutes façons rares sont les généraux à avoir de l’expérience face à cette race).Il hésita longuement, pris l’avis de ses fidèles officiers et finalement décida de ne pas attaquer car comme le dit le dicton : « Un bon général ne prend jamais de risques, il attend que son adversaire le fasse ». Il préféra fortifier les défenses de Sliva, bien que celles-ci soit déjà très avancées. Les plus grandes villes se vidèrent de leurs populations par le biais des barges aériennes, cela pris 2 jours et 18 heures. Pour les petites villes (qui étaient tout de mêmes rares) elles furent abandonner. La Garde Impériale ne comprenait que 3 points faibles :

1) les communications, qui étaient devenues très difficiles en raison du champ Warp que propageait le vaisseau ruche. De nombreux psykers étaient « entreposés » dans la capital planétaire pour tenter d’appeler les spaces marines du chapitre Ultramarines. Démétrius avait tout de même compris que son armada ne suffirait certainement pas à stopper ces bêtes. Et c’est pour cette raison qu’il préférait prendre ces précautions.

2) les brèches dans les murs bordant les villes. Elles étaient plus ou moins grandes (300 mètres à 1,5 kilomètre pour les plus grandes. En effet on avait du détruire ces portions de défenses en raison d’un étrange parasites qui creusaient des galeries dans le béton armé et le plastacier. Pour rééquilibrer cela on avait commencé de reconstruire le mûr mais il n’était pas prêt. Aussi on avait posé des mines autour de ces secteurs et positionné des tourelles armées de bolters lourd ou de lance-missiles.

3) les futures conditions climatiques avec l’arrivée des Tyranides. En effets seuls les Karskrins et un tout nouveau régiment en provenance de Médusa étaient a peu près en mesures de résister aux spores qui allait se déverser sur eux.

Malgré tout Démétrius était confiant. Confiant en ses troupes, constitués de soldats impériaux et de gardes de catachan et des soldats d’élites comme les karskrins ou encore la vénérable légion d’aciers ainsi que les unités mécanisées (leman russe, baneblade, basilisk, etc…), mais Démétrius avait un atout majeur. Même les officiers les plus proches de notre général n’étaient pas au courant de la présence des Vostroyens. Démétrius était prêt ainsi que ses troupes à affronter un des plus grands ennemis de l’Imperium de l’humanité.
Peu de temps après l’évacuation des villes, l’invasion débuta.
Tout d’abord le ciel s’obscurcit pour atteindre finalement une teinte rouge violette. C’était le stade I de l’invasion. Ce qui ne rassura pas la plupart des hommes. Puis, environ quelques dizaines de minutes après la teinte du ciel les premières spores tombèrent accompagnées de quelques organismes tyranides, les lictors lancés en avant des guerriers tyranides dont leurs présence était nécessaire pour transmettre l’esprit de la ruche…

III- Le début de la bataille…
(Je ne vous narrerais que la bataille dans la capitale même car, sinon je crois que je n’aurais pas suffisamment de temps pour vous décrire tous les combats sur Sliva…)



Les premiers organismes tyranides ne furent aperçus qu’au moment ou le général impérial voulu faire un repérage aérien par le biais de l’Infligus. C’était un des officiers présents dans le bunker qui avait alerté Démétrius de la présence des lictors aux portes d’Arnia, qui était le nom de la capitale.

Les lictors étaient quelques centaines aux portes mais cela n’inquiéta pas les soldats impériaux présents, malgré le fait que ceux-ci soient invisibles. Au contraire, ils trouvèrent plutôt amusant le fait de tirer sur des choses invisibles qui tombaient une a une sous les tirs de fusils lasers impériaux. Cela leurs remontaient le moral…
Peu après les voraces, c’était les guerriers tyranides qui faisaient leurs entrées en scène. Ceux-ci n’étaient pas très nombreux, du moins pour le moment. Les soldats durent lancer plusieurs grenades afin de stopper ces guerriers, qui étaient plus forts et plus résistants que les voraces.
Pour le moment, la garde impériale n’avait « affrontée » qu’environ 20 000 bêtes, autrement dit un lion contre une fourmi (le lion étant la G.I. et la fourmi étant les tyranides).
Mais cela allait vite changer. Il y eut un moment de répit, environ 3 heures. Seulement en ces quelques heures il se déroula deux phénomène étranges. La flore s’était étendu de façon anormale et ont avaient l’étrange sensation que le sol tremblait en permanence…
Les troupes impériales comprirent pourquoi le sol tremblait lorsqu’ils levèrent les yeux pour regarder l’horizon : un nombre incalculable de créatures arrivait pour annihiler la capitale…
A ce moment précis les officiers avertirent Démétrius, qui tenta de communiquer avec l’Infligus pour ordonner un largage orbital sur la masse tyranides. Par chance il réussit à leur donner l’ordre. Quelques poignées de secondes plus tard on pouvait observer des panaches de fumés noirs…

Mais cela ne faisait que retarder l’inévitable. Lorsque la masse, constituée de genestealers, guerriers et gaunts, arriva à environ 1 kilomètre des défenses impériales, il y eut un cri lancé pas tous les gardes :
« Nous sommes les fils de l’Empereur, et rien en ce monde ne pourra freiner sa colère !!! »
Puis les officiers donnèrent les ordres suivants :
« Tuer ces monstres au nom de l’Empereur ! N’en laisser aucun se relever sinon VOUS ne vous relèveraient pas ! Nous sommes la Garde Impériale, le marteau de l’Empereur ! La légion d’aciers est avec nous ainsi que les unités blindés ! Mais surtout vous aurez l’honneur et le privilège de vous battre avec les Vostroyens !
GLOIRE A L’EMPEREUR ET MORT AUX XENOS !!! ».
Les tyranides étaient aux pieds des remparts. Un instant, les gardes crurent que ces bestioles ne pourraient pas passer grâce à la hauteur des mûrs, mais en vérité les gaunts s’entassaient pour former une sorte d’escalier laissant libre passage aux guerriers et aux genestealers tyranides.
Les commissaires ordonnèrent de lancer des grenades à foisons, cela fonctionna un certains (le temps que les grenades s’épuisent). Les soldats se débrouillaient aux tirs mais les combats au corps à corps étaient mortels pour eux, en effet les tyranides sont certainement la race la plus développée au corps à corps. La légion d’aciers était venue prêter mains fortes aux gardes qui a vrais dires étaient dépassés par la situation. La légion était armée en conséquence de la situation, bolters lourds, lance-missiles, lance-grenades et lance plasmas étaient au rendez vous. Quelques blindés comme des chimères ou des sentinelles de la légion d’acier étaient venues renforcer les points où la situation devenait gênante. Cependant, les guerriers devenaient de plus en plus nombreux et il était de plus en plus dur de reprendre les remparts. Certains guerriers possédait des ailes avec pour armes symbiotes deux paires de griffes tranchantes ce qui faisait d’eux d’incroyables mais réels « machines de guerres ». Les corps des soldats impériaux volaient de toutes parts…
Tout changea lorsque Démétrius remarqua la situation, il communiqua alors les coordonnées aux officiers des compagnies de basilisks. En effet j’ai dit « remarqua » car celui-ci était partit vers les psykers pour tenter d’appeler des spaces marines en renfort pour le « cas où ». Le soutien des basilisks ajoutés à la puissance de frappe de la légion d’acier fit que les tyranides furent repoussés pour un temps. En effet les créatures que la garde impérial venait d’affronter n’étaient que des organismes de reconnaissances.
Les tyranides n’ont beau être que des « bêtes », lorsqu’ils décident de déguster leur proie, ils ne sont pas prêts de la lâcher. C’est la raison pour laquelle ils s’en sont pris au niveau des brèches dans les remparts…




IV- Que la curée commence…

L’invasion en était maintenant au stade II, cela signifie que tous les organismes tyranides sont présents lors de l’invasion proprement dite, et, que des spores de plus en plus toxiques allaient s’abattre sur Sliva…
Il y eut un autre répit. Les grades qui étaient tombés au combat partaient en direction de la morgue. Les défenses au niveau de la brèche principale (là ou les tyranides allaient attaqués) étaient considérables, en effet il y avait un vaste champs de mines et derrière celui-ci se trouvaient des gardes armés en conséquence de la situation, autocanon, bolters lourds et canons lasers. Démétrius se doutait que ces sales bêtes allaient se rendre à la grande brèche, et c’est pourquoi il décida d’envoyer le plus grand nombre possible de troupes à ce point stratégique.
Un tremblement se fit ressentir dans la plaine au nord de la grande brèche. C’était un tir de basilisk, mais pas un simple tir. C’était un obus dis « trembleterre ». Ce genre d’obus peut facilement pulvériser une zone d’environ 30 mètres de rayon.
Ce tir n’était pas fait pour faire « mu muse » comme on pourrait le croire mais pour montrer aux gardes que l’appui feu attendait l’ennemi de pied ferme. La légion d’acier arrivait pour encadrer les jeunes soldats. Puis ce fut les unités mécanisées comme des chimères, leman russ, ou les très incroyables baneblades, puissant char armé de deux canons deux bolters lourds jumelés, et de quelques autres options toutes prêtes à faire un maximum de dégâts.
Le ciel commençait à cracher de violents spores toxiques, l’invasion allait commençait…

L’infligus avait reçu précédemment l’ordre de faire feu sur les concentrations ennemies et c’est pour cela que plusieurs bombes avaient étés largués pour à la fois prévenir que l’invasion débutait réellement et pour commencer à tuer ces bestioles.

Les tyranides étaient maintenant visibles par les hommes situés à la brèche. Les premiers tirs de basilisks furent peu précis mais causèrent beaucoup de dégâts étant donné la masse incalculable de bêtes qui se déversait sur le marteau de l’empereur. Les premières mines explosèrent puis les autocanons et canons lasers lâchèrent leur salve de tir sur ces monstres. Les tirs ne semblaient faire aucun effet à cause du nombre de bestioles. Les mines avaient finis d’exploser et les genestealers et les hormagaunts bondirent au corps à corps sur les équipes d’armes lourdes. Le choc fut brutal, sanglant et sans aucune sorte de pitié. Les commissaires crièrent alors de lancer les grenades sur l’ennemi, ce qui ne tardait pas à être fait. Pendant ce temps l’infligus et les basilisks continuaient leurs travails mais ne portèrent pas beaucoup de succès. Les tyranides de leurs côté envoyèrent des guerriers ailés pour faire un maximum de dégâts et de paniques aux rangs impériaux, puis amenèrent eux aussi leurs artilleries, biovores et zoantropes. La légion d’acier fit une entrée en scène fracassante. Ils étaient armés de lance plasma et de lances grenades donc forcément cela relança la donne en faveur de la garde impériale mais seulement pour un temps…
La garde arrivait à peu près a tenir leur position mais il y avait un hic. Les zoantropes, biovores et guerriers ailés causaient trop de dégâts. C’est pour cette raison que Démétrius ordonna que les basilisks devaient échangés leurs munitions contre des obus trembleterres. Son plan était de faire feu a volonté dans la masse et ainsi libérer un passage pour permettre aux chars lourdement blindés d’aller a leur tour dans la mêlé. Son plan fonctionna pendant une heure, le temps que les chars soient détruits par les puissants carnifex.
Le général impérial ordonna alors la retraite des hommes postés a la brèche pour aller rejoindre le deuxième niveau de la capital. C’était une mauvaise nouvelle. En effet les autres colonnes blindées se trouvaient a environ une heure de la brèche. Mais deux bonnes nouvelles étaient aussi présentes et au rapport.
La première était que les vostroyens se postaient également au second niveau.
L’autre était que les psykers avaient enfin réussit à contacter le général space marine Maroul, qui dirigeait une flotte de quatre vaisseaux du type de l’Infligus.

Malheureusement ils ne seraient là que dans trois heures. Le général Impérial eut un, bref mais réel, moment de panique, il sentait sa mort approchée…

Les troupes en posture du deuxième niveau, les Vostroyens, commencèrent à armer leur mortier ; les Karskrins se tenaient aux points d’entrées ; les soldats impériaux arrivaient pour se réfugier tel un enfant courant dans les jupons de sa mère ; les colonnes blindées avaient reçues l’ordre de se séparer en deux groupes pour prendre en tenaille les tyranides.

Ils avaient commencé à envoyer des spores mines pour harceler la garde, mais les tirs de bolter lourd les calmèrent tout de suite, ensuite ce fut les gargouilles qui eux étaient plus pénibles à éliminer, et enfin la masse bio organique proprement dites était au rendez-vous.



Avant de finir de vous raconter ce combat, qui sera le dernier, voici ce que clamaient les troupes :

« Nous sommes les premiers nées, nous devons payer nos dettes à l’Empereur, alors rien en ce monde nous en empêchera ! »

« Nous avons étés entraînés de façons rudes et violentes, nous sommes l’Elite de toutes la garde, nous sommes les Karskrins et nous avons enfin trouvés en ce monde un ennemis qui sera dignes de notre mort, pour l’Empereur, HOU-HA »

« Le marteaux du seigneur suprême vient de se frotter contre la carapaces du xenos, nous devons les anéantir, Prêts à tout et pour l’Impérium de l’Umanitée ! »

« Soldats de la légions d’acier, nous avons été entraîner à appliquer ce dicton à la lettre : je suis venu, j’ai vu, j’ai vaincu. Alors pour notre foi, CHAAAARGER ! »

A son tour, Démétrius clama une parole :

Soldats, pensez à tout ce que vous avez vécu pendant votre vie, et ne pensez surtout pas a votre futurs car se sont ces bestioles qui vous l’ont volé. Nous avons été élevé dans la guerre, alors nous feront la guerre. Jusqu’à maintenant, je n’avait encore jamais penser à ma mort, à votre mort, et là je viens d’y penser, alors je vous demande de vous battre pour votre avenir, au nom de l’empereur.

« Au nom de sa parole, chargeeer!!! »



Les hommes pleins de bravoures, passèrent à l’action, et se fichaient de l’instant futur, ce qu’il voulaient c’était repousser ces bêtes venues les narguer jusqu’à leur patrie. Les tirs de roquettes, et d’autocanons se firent entendre et sentir chez les « rangs » des xénos. Les bazilisks entamèrent leur chant de guerre, rythmés aux sons des trembles terres… Du coté tyranide, les carnifexs commençaient leurs ascensions et ne manquèrent pas de tuer des centaines d’hommes, pour remédier à cela les mortiers vostroyens entamèrent les festivités, et les lance plasma arrivèrent, seulement, les soldats se faisait massacrer aux contacts…

Démétrius autorisa alors le largage intensif de bombes vortex au niveau de la brèche principale.

Les commissaires ordonnèrent un repli dans les tranchés pour laisser une pleine vision aux troupes équipées d’armes lourdes, et en même temps lancer quelques grenades, mais cela ne changea rien mise à part avoir perdu du terrain…

30 minutes avaient passées, le deuxième niveau était tombé. Seuls restés les cadavres déchiquetés, les tourelles de défenses encore fumantes, et les carcasses des artilleries…



Quand les colonnes blindées arrivèrent il était trop tard, elle tentèrent de résister mais, plusieurs éclairs Warp s’abattaient sur eux, et tout à coup un carnifex spécialisé dans la destruction de blindés, un lucanifex, sonna la charge et le dernier espoir terrestre s’envola…



2 heures plus tard, la flotte du frère capitaine Maroul arriva et fut surprise de voir que les vaisseaux ruches n’avait pas été détruits…

Maroul prit contact avec l’Infligus et demanda pourquoi les bio vaisseaux subsistaient toujours, et on leur répondit que Démétrius n’avait pas ordonner de s’en prendre à eux. C’est ainsi que les deux flottes se regroupèrent et partirent en direction des ruches pour les détruire…



Démétrius savait que tout étaient finis, cepandant au fond de son bunker, il repensa au sort de Tyran, planète attaqué par les tyranides, et ayant donné leur nom. Des coups de griffes sur la porte de plastacier le sortir de son songe et il se dit que chaque seconde comptait pour avoir plus d’informations sur cette race, si puissante et si mystérieuse. Sa dernière pensée fût la suivante :

Finalement ces bêtes ne cherchent pas la guerre, mais simplement se nourrir car cette race si puissante, si mystérieuse est également affamé…











FIN